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Le 02 octobre 2016.
Contenu
I. Introduction
II. La région et la ville de Samarie
1.
Judée – Samarie – Galilée
2. La ville de Samarie / Sébaste
III. Le lieu de la rencontre
1.
Sychar – Askar – Sichem
2.
Le puits de Jacob
3.
Le mont Garizim et le mont Ébal
IV. Conclusion
Abréviations
et bibliographie
Le récit de la rencontre entre Jésus et les
Samaritains en Jn 4,1-43 mentionne plusieurs localités. Le narrateur cite trois
régions : la Judée, la Samarie et la Galilée en 4,3-4 : « 3
Il [Jésus] quitta la Judée et s’en retourna en Galilée. 4 Or il lui fallait traverser la Samarie. » Après la description de
l’itinéraire, le texte se concentre sur des endroits précis en
4,5-6b : « 5 Il [Jésus] arrive donc à une ville de Samarie appelée
Sychar, près de la terre que Jacob avait donnée à son fils Joseph. 6 Là se
trouvait le puits de Jacob. » Dans le dialogue entre la femme samaritaine
et Jésus au puits de Jacob, elle lui dit en 4,20 : « Nos pères ont
adoré sur cette montagne et vous, vous dites : C’est à Jérusalem qu’est le
lieu où il faut adorer. » Le puits de Jacob est près du mont Garizim et à
son sommet, il y avait eu un temple samaritain. Par conséquent, dans l’esprit
de la femme samaritaine, « cette montagne » (4,20) signifie le mont
Garizim, il est juste devant ses yeux.
Notre étude examine ces lieux dans Jn 4,1-43.
D’abord, nous allons décrire la carte de la Terre Sainte : les régions de
Judée, Samarie et de Galilée et aborderons l’ancienne ville de Samarie, appelée
aussi Sébaste. Ensuite, nous présenterons les lieux
de la rencontre entre Jésus et les Samaritains : la topographie de Sichem,
Sychar, Askar ; le puits de Jacob ; le mont Garizim et le mont Ébal.
Ces sites sont illustrés par quelques photos récentes. La connaissance de ces
localités peut aider le lecteur à savourer la scène racontée dans le quatrième Évangile.
Mais le plus important est qu’à travers le récit, le narrateur invite le lecteur
à transcender ces lieux pour appliquer le message du texte à sa vie
quotidienne.
II. La région et la ville de Samarie
Cette
partie présente deux points : (1) les trois régions de la Palestine au
temps de Jésus : Judée – Samarie – Galilée et (2) la ville de Samarie /
Sébaste.
1. Judée – Samarie – Galilée
Au temps de Jésus, le territoire de la
Palestine a été divisé en trois régions : Judée au Sud, Samarie au milieu
et Galilée au Nord (cf. la carte ci-dessous).
Bible History Online
Les territoires de Judée et Samarie étaient sous l’autorité d’Hérode Archélaos, puis, à partir de l’an 6
ap. J.-C, cette région devint province romaine de Judée. La région de
Galilée et de Pérée appartenait au roi Hérode Antipas (fils d’Hérode le Grand
avec la Samaritaine Malthace, sa sixième [ou quatrième] femme). Les régions de
Gaulanitide, d’Iturée, de Trachonite et d’Auranitide étaient sous l’autorité
d’Hérode Philippe II (appelé Philippe le Tétrarque, fils d’Hérode le Grand avec
Cléopâtre de Jérusalem, sa septième [ou cinquième] femme). La région de
Décapole, qui signifie en grec dix (déca) villes (polis),
comprend un groupe de dix villes sur la frontière orientale de l’Empire romain,
entre la région de Judée et la Syrie. Leur statut politique était celui des
villes autonomes.
Territoires sous
l’autorité d’Antipas.
Territoires sous
l’autorité de Philippe.
Salomé Ire
(villes de Javneh, Azotas, Phaesalis).
Territoires sous
l’autorité d’Archélaos,
puis, à partir de l’an 6, province
romaine de Judée.
Province romaine de
Syrie.
Cités autonomes (Decapolis).
La Nabatée, souvent simplement appelée « Arabie » dans les
sources antiques, enserrait le royaume d’Hérode au sud et à l’est, remontait
jusqu’à la province romaine de Syrie et comprenait le nord de la péninsule
arabe. Cf. https://fr.wikipedia.org/wiki/H%C3%A9rode_Antipas
L’appellation « Samarie » en Jn
4,4 : « Il [Jésus] lui fallait traverser la Samarie » désigne la
région et non la ville. Cependant, « Samarie » est aussi le nom d’une
ville qui était la capitale du royaume d’Israël du Nord au temps du roi Omri
(vers 885-874 av. J.-C.). La ville Samarie a été
reprise par Sargon II en 721 av. J.-C., puis elle fut conquise par Alexandre le
Grand en 331 av. J.-C. Cette ville a été détruite par Jean Hyrcan Ier
en 108 av. J.-C., après un siège d’une année (cf. Fl. Jos. A.J. XIII
10,2-3 ; G.J. I 2,7). Selon S.-C. Mimouni, Le
judaïsme ancien, 360, la date de cette destruction fait l’objet
de débats : « pour certains, elle serait
intervenue vers 128, pour d'autres vers 112-111, pour d'autres encore vers
108-107. ». En tout cas, « cette destruction marque la rupture
définitive entre Juifs et Samaritains après plusieurs siècles de tensions,
spécialement à l’époque perse. Désormais Juifs et Samaritains se considèrent
comme des ennemis héréditaires (cf. Jn 4,9 ; 8,48) » (DEB,
1171). Pompée reconstruit la ville de Samarie en 63 av. J.-C. En l’an 27 av.
J.-C., César Auguste a donné cette ville à Hérode le Grand, puis Hérode a agrandi et rénové la ville et l’a nommée en grec
« Sébaste », ce qui signifie « Auguste » en l’honneur de
l’empereur. Par conséquent, sur la carte ci-dessus, la ville de Sébaste prend
la place de la ville de Samarie. La ville de Samarie-Sébaste est aujourd’hui un
site archéologique important. Les fouilles du site ont révélé six cultures de
six périodes successives : cananéenne, israélite, hellénistique,
hérodienne, romaine et byzantine.
Jésus doit traverser la région de Samarie (Jn
4,4), mais où est exactement l’endroit de la rencontre entre Jésus et la femme
samaritaine ? Et où est le lieu où Jésus est resté avec les Samaritains
pendant deux jours ?
III. Le lieu de la rencontre
Au milieu de la région de Samarie, nous voyons
les localités suivantes : Askar, Sichem, Naplouse, le mont Ébal et le mont
Garizim, mais où est la ville de Sychar ? Dans cette partie, nous présenterons
les lieux : (1) Sychar – Askar – Sichem (4,5a) ; (2) le
puits de Jacob (4,6a) et (2) et le mont Garizim et
le mont Ébal.
1. Sychar – Askar – Sichem
La ville de
Sychar est décrite dans l'Évangile de Jean en 4,5-6a : « 5 Il [Jésus] arrive donc à une ville de Samarie appelée Sychar,
près de la terre que Jacob avait donnée à son fils Joseph. 6a Là se trouvait le
puits de Jacob. » Jérôme
identifie Sychar avec Sichem. En fait, dans les manuscrits syriaques le mot
« Sichem » est utilisé pour « Sychar », cette
identification a probablement été corrigée par un copiste plus tard.
La description de
Jn 4,5-6 évoque le texte de Gn 33,18-20 : « 18 Puis Jacob arriva sain
et sauf à la ville de Sichem, au pays de Canaan, lorsqu’il revint de
Paddân-Aram, et il campa en face de la ville. 19 Il acheta aux fils de Hamor,
le père de Sichem, pour cent pièces d’argent, la parcelle de champ où il avait
dressé sa tente 20 et il y érigea un autel, qu’il nomma “El, Dieu
d’Israël.” » Néanmoins le nom de la ville en Jn 4,5 est
« Sychar » non « Sichem ». D'ailleurs, dans toute la Bible,
le nom « Sychar » n’est mentionné qu’une seule fois en Jn 4,5.
Les critères
d’identification de « Sychar » sont (1) à proximité « de la terre que Jacob avait donnée à son fils Joseph » (Jn 4,5b) et (2) « là se
trouvait le puits de Jacob » (4,6a). Certains chercheurs veulent identifier la ville de Sychar avec
l’antique Sichem, parce que les fouilles montrent que la
terre que Jacob avait donnée à Joseph se trouve devant les ruines de Sichem qui est beaucoup plus proche du
Balata moderne (cf. Schein, Following the Way, 205). Cependant, beaucoup
d’autres chercheurs ont tendance à identifier la ville de Sychar avec le
village d’Askar aujourd’hui (voir la carte ci-dessus). R. Schnackenburg*, I,
423 écrit : « L'endroit appelé Sychar par l’évangéliste (Vg. Sichar)
est le plus souvent identifié avec le village actuel d’Askar, à un peu plus de
2,4 km (1,5 mille) au Nord-Est du puits de Jacob. » (“The place called Sychar by the evangelist (Vg. Sichar)
is mostly identified with the present village of Askar, a little more than half
a mile north-east of the well of Jacob.”)
Jn 4,5 décrit
Sychar par les mots « polis » qui signifie « ville »
ou « grande bourgade ». Les fouilles à Balata ont révélé les ruines
de l’ancienne Sichem, mais on ne sait pas vraiment quand le village est apparu.
En fait, l’ancienne Sichem a été détruite en 107 av. J.-C. par Jean Hyrcan Ier.
Quant à la nouvelle ville de Flavia Neapolis (à environ 2 km de l’ancienne
Sichem) elle n’existait pas encore à l’époque de Jésus, elle a été fondée par
l'empereur romain Vespasien en 72 ap. J.-C. Aujourd'hui, le nom de la ville est
Naplouse.
http://bibleatlas.org/sychar.htm
Le village d’Askar actuel est sur la pente du
mont Ébal. Ceci est l’Est de l’ancienne Sichem. À la suite de fouilles
récentes, le site de Sychar peut être identifié avec Askar, au Nord-Est du
puits de Jacob. Ce village est identifié avec « la terre que Jacob avait
donnée à son fils Joseph » (Jn 4,5b). Bien que le village d’Askar n’existe
seulement qu’à l’époque arabe, il pourrait bien être sur le site de l’ancienne
Sychar. Peut-être y avait-il des chrétiens dans la ville de Sychar au moment de
la composition du quatrième Évangile.
Selon Schnackenburg*, I, 424, le site du puits
de Jacob aujourd’hui est authentique : « Le puits de Jacob, qui est
encore visible aujourd’hui sur le même emplacement où il a été montré aux
pèlerins dans le passé, est sans aucun doute authentique, bien qu’il ne soit
pas mentionné dans l’Ancien Testament. » (“The
well of Jacob, which is still to be seen today in the same place where it was
shown to earlier pilgrims, is undoubtedly genuine, though it is not mentioned
in the Old Testament.”)
http://hitch.south.cx
Mgr John H. Vincent a commenté à propos de
cette photo dans son écriture Earthly Footsteps of the Man of Galilee, après avoir visité le
puits en 1894 : « Le puits de Jacob appartient maintenant à une
église grecque (...). Le puits est maintenant à 23 mètres (75 pieds) de
profondeur à 2,3 mètres (7 pieds 6 pouces) de largeur. Le diamètre de
l’ouverture est de 5,3 mètres (17,5 pieds). Une voûte en ruine se trouve
au-dessus du puits de 6 mètres (20 pieds) de long, 3 mètres (10 pieds) de large
et de 1,8 mètre (6 pieds) de haut. Les morceaux de marbre cassé que vous voyez
à l’avant appartiennent à une ancienne église. » (“Jacob’s Well now belongs to a Greek Church
(…). The well is now seventy-five feet deep and seven feet six inches in
breadth. The diameter of the opening is seventeen and a half feet. A ruined
vault stands above the well twenty feet long, ten feet broad and six feet high.
The pieces of broken marble you see in the front belong to some ancient
church.”)
http://hitch.south.cx/biblesidenotes-e20%20Jacobs%20Well.htm.
L’Église orthodoxe grecque a acheté les ruines
de l’église qui était le site de la rencontre de Jésus avec la femme
samaritaine au puits de Jacob (Jn 4). La construction de la nouvelle église a
commencé avant la Première Guerre mondiale, mais ce n’est qu’après que
certaines parties des murs extérieurs ont été construites, constructions
interrompues par la guerre.
Après un sommeil de plus de 80 ans, l’église a
été achevée en 2007. Voici l’église orthodoxe de Saint Photini (la femme
samaritaine) aujourd'hui :
http://welcometohosanna.com
Photo du fr.
Bartholomew, op, Nov 2014
Le
puits de Jacob est dans la crypte de l’église :
Photo d’une carte
postale
Photo du fr. Joseph Lê Minh Thông, op, Jan 2016
Photo du fr. Joseph Lê
Minh Thông, op, Jan 2016
Un puits ne peut pas être déplacé, donc nous pouvons
considérer que ce puits marque l’endroit où Jésus est assis et qu’il a parlé à
la femme samaritaine en Jn 4. C’est à juste titre qu’elle dit que « le
puits est profond » (4,11) puisque ce puits a plus de 21 mètres de
profondeur et qu’il fournit toujours l’eau fraîche pour boire (cf. Walker, In the Steps of Jesus, 87-88). Basée sur une mesure effectuée en 1935, la profondeur totale du puits
est de 41 mètres (135 pieds), (cf. ISBE). Au temps de Jésus, ce puits
était peut-être plus profond. La tradition juive, samaritaine, chrétienne et
musulmane associe ce puits à Jacob.
3. Le
mont Garizim et le mont Ébal
Photo de
BiblePlaces.com
Le mont
Garizim sur la gauche, le mont Ébal sur la droite.
Le mont Garizim est à Samarie, à environ 868
mètres (2849 pieds) au-dessus du niveau de la mer Méditerranée, et à 244 mètres
(800 pieds) au-dessus de la vallée à ses pieds. Mont Ébal est à 938 mètres
(3,076 pieds) au-dessus du niveau de la mer, et à 366 mètres (1200 pieds)
au-dessus de la vallée en contrebas. (cf. http://bibleatlas.org ;
http://classic.net.bible.org). Entre ces deux montagnes est l’ancienne Sichem.
Sychar (Askar) était située à la base du mont Ébal et le puits de Jacob était
au sud de la ville en direction du mont Garizim.
Selon Flavius Josèphe, Sanballat a construit
un temple pour les Samaritains sur cette montagne, et a institué leurs propres
prêtres, comme des rivaux de ceux des Juifs à Jérusalem (cf. Fl. Jos. A.J.
XI 8,2-4). La tension religieuse entre les Juifs et les Samaritains a conduit à
la destruction du temple de Garizim par Jean Hyrcan Ier (108 av.
J.-C.). En 135 ap. J.-C., après la victoire contre les Juifs, Hadrien a fait
reconstruire un temple sur le mont Garizim. « Des fouilles récentes ont
retrouvé les traces, encore visibles, de ces deux temples, sur le contrefort
appelé tell-er-Ras. » (DEB, 529). Lorsque le christianisme est
devenu la religion d'État de l’Empire romain, une église octogonale chrétienne
a été construite sur le sommet du Garizim en 475 ap. J.-C., en honneur de
Marie, Mère de Dieu. Ensuite, l’église a été détruite par les musulmans au VIIIe
siècle. (Cf. Walker, In
the Steps of Jesus,
89). La photo ci-dessous montre les ruines de l’église
octogonale byzantine sur le mont Garizim :
Photo de Ron Peled
Photo dans Illustrated
Dictionary
Dans le livre de Josué, les Monts Garizim et Ébal étaient des sites pour la récitation de bénédictions et de malédictions (Jos 8,30-35). À l’époque de Jésus, le mont Garizim était près du puits de Jacob, l’endroit où Jésus a rencontré la femme samaritaine. Le mont Garizim était certainement « cette montagne » pointée par la femme samaritaine dans sa conversation avec Jésus en Jn 4,20.
IV. Conclusion
Le récit de Jn 4,1-43 comprend certains
endroits de la Terre Sainte ; le narrateur mentionne : la Judée, la
Samarie, la Galilée, Sychar, le puits de Jacob et « cette montagne »
(le mont Garizim). Ce récit se concentre sur les rencontres de Jésus avec la
femme samaritaine et les autres Samaritains de la ville de Sychar. Des
renseignements sur la topographie de l’Ancien Testament, le Nouveau Testament
et d’autres sources disponibles aujourd’hui aident le lecteur à mieux
comprendre le récit : « où » et « comment » Jésus a
accompli sa mission en lien avec la révélation sur son identité.
Jésus révèle à la femme samaritaine, et à
travers elle, à tout le monde que ce n’est plus sur le mont Garizim ni à Jérusalem
qu’on adore le Père. Jésus dit à la femme en 4,21 : « Crois-moi, femme, l’heure vient où ce n’est ni sur
cette montagne ni à Jérusalem que vous adorerez le Père » et en
4,23a : « Mais l’heure vient – et c’est maintenant – où les
véritables adorateurs adoreront le Père en esprit et en vérité (en pneumati kai alètheiai). » Le
culte à un endroit particulier est limité dans l’espace et provoque souvent des
conflits. La véritable adoration des disciples de Jésus ne se limite plus à un
endroit. En d’autres termes, les disciples adorent le Père partout où ils se
trouvent. Désormais, la véritable adoration du Père concerne la manière et non
le lieu. Il s’agit d’adorer le Père en esprit et en vérité.
À l’époque de Jésus, la région de Samarie est
en dehors du territoire juif, et les Samaritains sont considérés par les Juifs
comme des païens. Face aux obstacles de différentes croyances (Juifs /
Samaritains), différents genres (homme / femme), différents lieux de culte
(Jérusalem / Garizim), la présence de Jésus et sa parole permettent aux
Samaritains de briser ces obstacles, de croire en lui et de reconnaître qu’il
est « le sauveur du monde » (4,32b).
Les rencontres de Jésus ont eu lieu dans des
endroits concrets : au puits de Jacob, la ville de Sychar... Néanmoins, le
récit invite le lecteur à aller au-delà de ces lieux. Les disciples actuels
peuvent transformer leur rencontre quotidienne avec les autres selon le modèle
de la rencontre de Jésus. C’est-à-dire une rencontre qui va au-delà des
barrières de différence (différentes croyances, genres, lieux de culte) pour
faire découvrir aux autres que Jésus possède « l’eau vive »
(4,10-14), qu’il est le Messie (4,25-26) et le Sauveur du monde (4,42). Le
narrateur encourage donc sa communauté à réaliser sa mission dans le monde
comme le fait Jésus en Samarie. Jn 4,1-43 est donc un modèle de la mission des
chrétiens et un exemple de la foi grâce au témoignage des autres et en
particulier grâce à la parole de Jésus./.
Source : http://leminhthongtinmunggioan.blogspot.co.il/2016/10/la-topographie-en-jn-41-43-samarie_54.html
Abréviations et bibliographie
Abréviations :
Fl. Jos. Flavius Josèphe
A.J. Antiquités
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G.J. Guerre
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Holy Land Photos, http://www.holylandphotos.org/
Life in the Holy Land, http://www.lifeintheholyland.com/
NET BIBLE, http://classic.net.bible.org/home.php
Merci pour toutes ces informations détaillées. Que Dieu vous bénisse.
Trả lờiXóa